Le Festival International du Film Panafricain (FIFP) de Cannes est une plateforme d’exposition du Cinéma et de ses métiers, des Arts et des savoirs-faire, mais également de l’Innovation, de la Culture et de l’Événementiel.

Moteur de développement de l’industrie du Cinéma et des Arts PanAfricains, le Festival recherche en permanence des solutions spécifiques au développement du Cinéma et des Arts PanAfricains. Réunir les professionnels (réalisateurs, musiciens, art plastique…) du monde entier autour de l’Afrique et de sa diaspora… Une entreprise de vie au service du mieux vivre ensemble, un projet d’aujourd’hui pour notre futur.

Depuis 2006, date de sa création, le DIKALO AWARDS (« message » en langue Douala-Cameroun) est décerné par un jury professionnel au meilleur long et court métrage (fiction), au meilleur long et court métrage documentaire, Dikalos de la paix, au meilleur acteur et actrice.

Le FIFP est un moment, une expérience unique où le cinéma panafricain et les cultures africaines ainsi que celles de sa diaspora à travers le monde sont à la disposition de tous. C’est une énergie exceptionnelle.

Le Panafricanisme est un concentré de l’universalisme. Il a toutes les lumières, celle de l’Égypte antique et celle de l’avenir du monde. En somme, la beauté en permanence.

Le Festival International du Film Panafricain (FIFP) de Cannes est une plateforme d’exposition du Cinéma et de ses métiers, des Arts et des savoirs-faire, mais également de l’Innovation, de la Culture et de l’Événementiel.

Moteur de développement de l’industrie du Cinéma et des Arts PanAfricains, le Festival recherche en permanence des solutions spécifiques au développement du Cinéma et des Arts PanAfricains. Réunir les professionnels (réalisateurs, musiciens, art plastique…) du monde entier autour de l’Afrique et de sa diaspora… Une entreprise de vie au service du mieux vivre ensemble, un projet d’aujourd’hui pour notre futur.

Depuis 2006, date de sa création, le DIKALO AWARDS (« message » en langue Douala-Cameroun) est décerné par un jury professionnel au meilleur long et court métrage (fiction), au meilleur long et court métrage documentaire, Dikalos de la paix, au meilleur acteur et actrice.

Le FIFP est un moment, une expérience unique où le cinéma panafricain et les cultures africaines ainsi que celles de sa diaspora à travers le monde sont à la disposition de tous. C’est une énergie exceptionnelle.

Le Panafricanisme est un concentré de l’universalisme. Il a toutes les lumières, celle de l’Égypte antique et celle de l’avenir du monde. En somme, la beauté en permanence.

Le festival est organisé par les associations Klaxon et Cinemawon.

Le cinéma Panafricain est à l’honneur. Durant 7 jours, des films du continent africain, de la Guyane, des Antilles, de La Réunion sont projetés. L’occasion de rendre accessibles, de montrer, des films jusque-là accessibles uniquement dans les festivals professionnels internationaux.

L’association POUR LA SUITE DU MONDE, EN QUÊTE DE NOUVEAUX RÉCITS propose une programmation et des ateliers de création au croisement de la recherche en sciences humaines, des arts (beaucoup de films, de poésie et de littérature) et des mobilisations citoyennes sur des questions politiques contemporaines.

Alors que le monde souffre de crises multiples – climatique (répercussions du réchauffement, pensée de l’anthropocène…), économique (inflation, endettement, accroissement des inégalités…) politique (défiance vis-à-vis des institutions, mouvements tels que les gilets jaunes, chute de la participation des citoyen-nes au vote, soulèvements populaires multiples dans le monde…), migratoire (augmentation des déplacements, crise des politiques publiques de l’accueil, rejet de l’étranger, accroissement de l’influence des idéologies d’extrême droite), médiatique (explosion des fake news et de la désinformation, logique de profit qui induit une information rapide et superficielle qui prime au travail d’investigation,…) – comprendre, s’indigner, se mobiliser contre les causes systémiques perçues à l’origine de ces crises ne semble pourtant pas avoir beaucoup de répercussions ni ne semble les freiner.

À partir de la diffusion d’oeuvres d’arts, particulièrement de cinéma documentaire et poétiques, mais aussi en mettant en place des ateliers de création (littéraire, radio, cinématographique) favorisant le pouvoir d’agir, et l’émergence de voix minoritaires, nous souhaitons faire dialoguer artistes, chercheurs et acteurs concernés et impliqués sur les questions qui nous occupent.